Le groupe
Biographie :

Slave One naît de l'esprit de Seb en 2009. Avec Nico aux guitares et basse, il enregistre une démo "Vermin" dans laquelle il se charge de la batterie et du chant. Avec "Vermin", le duo jette les bases de son identité à la croisée du death metal américain et européen, influencé par des groupes tels Death, Morbid Angel ou Atheist, Pestilence ou encore At The Gates, Dark Tranquillity notamment. En 2010, le groupe évolue avec les arrivées de Ben à la guitare rythmique, Williams à la basse et Nico P au chant afin d'assurer les lives. Ses arrivées donnent au groupe un nouveau souffle. Le groupe s’attelle ensuite à l'écriture de nouveaux morceaux. Sorti en 2011, "Cold Obscurantist Light" et ses 5 titres soulignent les progrès du groupe dans un style death prog. plus soigné et structuré, inspiré par les différentes cosmogonies. Chaque instrument joue un rôle primordial dans ses nouveaux morceaux et donne aux compositions plus de profondeur. L'obscurantisme est au centre de cet EP et sert de matière à réflexion. Le groupe continue d'affiner son style et compose les morceaux qui constituent l'album "Disclosed Dioptric Principles", prévu le 25 Mars chez Dolorem Records. En Septembre 2017, Slave One sort l'EP "An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit" chez Dolorem Records, suivi de l'album "Omega Disciples" en Janvier 2020.

Discographie :

2009 : "Vermin" (Démo)
2011 : "Cold Obscurantist Light" (EP)
2016 : "Disclosed Dioptric Principles"
2017 : "An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit"
2020 : "Omega Disciples"


Les chroniques


"Omega Disciples"
Note : 16,5/20

Qu’est-ce qu’il peut être dark ce groupe, Slave One ! Dark, pas dans le sens goth’ du terme mais plutôt dans l’art de façonner un death metal alambiqué et tout en tensions. En 11 ans d’existence, la formation française nous a déjà gâté d’un album, d’une démo et de 2 EPs. "Omega Disciples" est donc important puisqu’il s’impose comme étant le deuxième full length de ces métalleux hargneux. Formé d’ex-Brennkelt, Slave One dispense un death metal à cheval entre le rétro et des éléments résolument plus actuels.

La première chose qui frappe dès les premiers instants, c’est l’incroyable diversité des passages proposés. Le premier titre "Lightness Perspectives" est élancé et vif, et offre un death sombre avec des parties dissonantes qui consolident des mélodies inquiétantes très "à la Schuldilner". Le deuxième titre, "Debris", s’inspire de Nile ou encore Morbid Angel, terreau fertile propice au développement d’une musique angoissante et suffocante. L’aspect dissonant y est assez régulièrement présent, à la manière d’un Ulcerate. "Dissident Flesh" s’immisce dans le progressif et développe une ambiance assez cyber, avec son intro de batterie toute en finesse. Il s’y dégage une note fataliste assez subtile, très dystopique. Le chant caverneux est peu varié, il faut le reconnaître, mais il s’adapte malgré tout à tous les environnements musicaux proposés et, de ce fait, celui-ci apporte l’unité qu’il pourrait parfois manquer dans la continuité de l’écoute. Les chœurs scandés en mode "guerriers hardcore" offrent une belle énergie. Slave One parvient à jouer avec les riffs, embarquer l’auditeur dans divers univers, avec une certaine facilité. Les compositions sont matures et bien pensées. "Carbon Mantra" perpétue la mise en forme du titre précédent, toujours avec cet élan vindicatif caractéristique, et des interventions de guitares en son clair qui ajoutent de la nuance à l’ensemble. "Shaper Of The Inconsistent World" dégage une noirceur sans précédent, et s’avère être le titre le plus rentre-dedans et morbide du disque. La bestialité dégagée contraste astucieusement avec de sombres mélodies. "Ce Que Dit La bouche De L’Ombre" laisse entendre une intro de guitare qui aurait pu être composée par le grand Trey Azagtoth lui-même. Le groupe s’engage ensuite vers un metal qui se met progressivement en place, de manière insidieuse et perverse. Quelques guitares aigues rappellent les prémices du néo metal (désolé pour la comparaison). Ce titre est uniquement instrumental et tombe très bien à cet endroit du tracklisting. "Les Disciples De L’Oméga", très court, dévoile une facette thrash et groove metal encore inexplorée jusqu’à présent, et on y entend également les parties de grosse caisse les plus rapides de l’album. La guitare hypnotique pendant les couplets ajoute une dimension bizarre vraiment cool. "Suffocating The Stars" conclut admirablement le disque avec un titre puissant et viril, l’apothéose d’un combat virulent qui termine dans un bain de sang.

Avec "Omega Disciples", Slave One nous propose un album ou la technique développe de manière habile des climats tendus et énervés. Les riffs rapides contrastent de manière saisissante avec des ambiances sombres et imagées. Nous voici encore une fois en présence d’un groupe français qui mérite d’être écouté, tant par la qualité des compositions que le feeling musical qui se dégage de chaque moment d’"Omega Disciples", un excellent death metal bien comme il faut.


Trrha’l
Mars 2020




"An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit"
Note : 18,5/20

En Mars 2016, je vous présentais le premier album des Montargois de Slave One, l’excellent "Disclosed Dioptric Principles" sorti chez Dolorem Records. Un peu plus d’une année s’est écoulée depuis et le groupe  remet le couvert, toujours sous la bannière Dolorem mais cette fois-ci Slave One débarque avec sous les bras un EP quatre titres intitulé "An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit".

Comme dit ci-dessus, "An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit" compte effectivement quatre titres pour un peu moins de 25 minutes d’un brutal death puissant et technique. Si le groupe demeure dans son monde et son univers, il montre (et démontre) que chez nous, nous avons de sacrés groupes qui se  défoncent  (musicalement parlant) comme des beaux diables. Avec cet EP, je suis encore une fois le témoin privilégié non seulement de l’avancée d’un groupe mais également de sa progression et de la construction de sa carrière, mais aussi de l’avancée, de la progression et de la construction d’un label. Ce n’est certainement pas moi qui vais m’en plaindre puisque vous me connaissez désormais (si vous me lisez un tout petit peu), je soutiens du mieux que je peux notre belle scène qui n’a plus à rougir désormais et depuis longtemps. Bon, assez de blablas, de palabres et de pommade (je vous rassure je ne suis pas payé...), cet EP il donne quoi ? Eh bien c'est une tuerie musicale, tout simplement, certes on pourrait dire que quatre titres c’est (trop) court (y compris une reprise de Dimmu Borgir, "Blessings Upon The Throne Of Tyranny"), mais moi je vous dis que non, Slave One avec cet EP a le grand mérite de montrer qu'il a toujours l’énergie et la passion en lui. Cet EP a la vertu de nous faire patienter jusqu’à son prochain full length qui s’annonce, si rien ne change, sous les meilleures hospices car en quatre titres Slave One parvient littéralement à faire tomber la cabane sur le chien avec son death technique et puissant qui démonte tout sur son passage et dont nous sommes nombreux et nombreuses à être friands. Je dirais tout simplement que Slave One reste fidèle à son style de prédilection et nous propose avec cet EP une production très intéressante. Encore une fois, je ne puis que vous encourager et vous conseiller de vous pencher sur une production ciselée au laser et réglée au cordeau (mixage et mastering signés Marmelade Production), ce qui démontre encore une fois que chez nous on a peut-être pas de pétrole mais on a de super techniciens…

En conclusion, je n'ai qu’une chose à dire : comme vous aimez la musique et que vous la soutenez, allez faire un petit tour chez Dolorem histoire de vous faire plaisir et de continuer à voir de telles productions voir le jour et des groupes vivre. Toutefois, avant de vous quitter, un petit mot car là, ça vaut vraiment le coup : big up au visuel et au design de "An Abstract And Metaphysical Approach To Deceit" signés Heasplit Design, Mallet A. & Salin S. tout simplement magnifiques, et ça aussi ça fait plaisir de voir un groupe prendre soin de tous les détails de son  bébé. Décidément, vivement le nouvel album…


Vince
Septembre 2017




"Disclosed Dioptric Principles"
Note : 18/20

Un premier album est toujours un but pour un groupe parce qu’il concrétise souvent des années de création et d’écriture. Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous présenter "Disclosed Dioptric Principles", le premier méfait musical de Slave One, groupe originaire de la région parisienne (plus exactement de Montargis), qui voit le jour avec le soutien et le partenariat du jeune label Dolorem Records.

Slave one est formé de Nicolas au chant, Benoit et Nicolas au duo de guitares, de Wiliam à la basse et enfin de Seb au cassage, au matraquage de fûts. Ce joli petit monde évolue et s’adonne à un death metal mélodique teinté de progressif dans la veine de groupes aussi mythiques (que légendaires) allant de Cynic en passant par Death ou encore Obscura. Beau programme, n’est-ce pas, les amis ? "Disclosed Dioptric Principles" compte donc 7 titres pour près de 37 minutes de bonne et douce musique. Oui, vous l’avez compris, Salve One est inspiré et le fait atrocement sentir sur ce premier album. "Disclosed Dioptric Principles" est pour Slave One un aboutissement de près de 7 ans de travail acharné. Le groupe connaissant enfin un équilibre de personnel certain depuis quelques années, c’est tout naturellement qu’il s’est attelé au digne successeur de leur premier EP 5 titres "Cold Obscurantist Light" sorti en 2011. Alors ce premier album, il donne quoi ?

Eh bien tout d’abord quel plaisir encore une fois d’observer qu’un groupe français est capable de proposer une musique, un style, qui n’ont absolument pas à rougir face à l’armada internationale, et cerise sur le gâteau, l’album voit le jour sur un label (je peux l’affirmer haut et fort) que je voit grandir, et ça, pour le défenseur de la scène française que je suis, c’est le plus beau des cadeaux. Slave One prend des risques mais les assument, leur death metal avec ces touches de progressif très présentes est un petit plaisir sur galette de silice. La noirceur et l’obscurantisme sont au cœur de ce premier album donc si vous aimez le death, la technique, le progressif et les grosses voix, cet album est définitivement pour vous ! Je ne puis que vous encourager à jeter une oreille au très puissant "The Antikythera Mechanism", au rapide "For Shiva Whispered The Universe" ou au très death'n’prog tehnique (plus de 11 minutes !) "Liquid Trascendental Echoes". Bon, les amis, vous l’avez très bien compris, on a affaire avec "Disclosed Dioptric Principles" à un très bon album d’autant que le travail de Jean-Christophe Guillard du Underwazes Studio (mixage et mastering) donne toute la profondeur et la puissance nécessaire aux 7 titres.

Concernant cette nouvelle production (la quatrième du label), elle est dans la continuité de la politique éditoriale de Dolorem Records et je crains que ses responsables ne prennent un malin plaisir à nous torturer (dans le sens bon du terme) nos douces et suaves oreilles. Encore une chose sur cette nouvelle production : le soin apporté à l’objet. On a non seulement droit à un très beau visuel signé  de l’Artiste français 3mmi mais on a droit également à un livret 12 pages illustré et de toute beauté. C’est peut-être un détail pour vous mais le collectionneur que je suis ne peut qu’en être ravi (il faut reconnaître qu’un joli CD c’est toujours plaisant à avoir dans les mains, à lire, à décortiquer). Voilà, désormais vous savez ce qu’il vous reste à faire, car comme je dis souvent dans mes chroniques : "J’aime la musique, je la soutiens", donc direction ici et nous verrons encore longtemps de beaux albums physiques. En conclusion, je dirais que Slave One avec "Disclosed Dioptric Principles" nous propose un premier album très intéressant, bourré de très bonnes idées et espérons-le pour le groupe, qu’il inscrira le nom de Slave One durablement dans la sphère du death metal francophone et allez, soyons fous, à l’international. Premier essai réussi pour les originaires de la région parisienne. A suivre...


Vince
Mars 2016




"Cold Obscurantist Light"
Note : 14/20

Jeune formation, qui au départ n'était le projet que d'une seule personne à savoir le bassiste Seb ; Slave One a su évoluer en presque deux ans pour exister en tant que véritable groupe. Leur death metal à l'ancienne est le courant qui agresse les narines vigoureusement avec cette nouvelle demo. En effet si "Vermin" leur premier jet sorti presque trois ans plus tôt, posait déjà les bases d'un death metal bien branlé, et qui s'inspirait de choses relativement référentielles comme bien évidemment Death ; on constate qu'il existe entre les deux productions, d'une part quasi trois années de perfectionnement, c'est certain, mais surtout un monde au niveau de la production et de la signature musicale.

Si "Vermin" possédait un son malgré tout sorti de la caverne d'un vieux grizzly en cours de réinsertion sauvage, on sent déjà que la maturité en matière de production a pris un grand coup de pied dans les parties. En effet Slave One a progressé littéralement entre ces deux productions, celles-ci ayant été enregistrées toutes deux au Rottensound Studio, qui je suppose à moins de n'être dans le faux, doit être un studio perso à savoir du matos maison. Eh bien, en dépit d'une production sans doute réalisée à la force du poignet, force est de constater que Slave One a fait un grand bon en avant, et que leur musique est largement plus mise en valeur aujourd'hui. On sent bien que le son s'est étoffé, et qu'il a pris en épaisseur, c'est nettement moins brut et ça prend beaucoup plus de volume. La basse est toujours aussi présente, mais ici, elle est plus que mise en avant, et sans pour autant faire de l'ombre aux autres instruments, on sent que le groupe lui laisse une marge très importante, d'autant plus que le fait qu'elle ait six cordes ne doit pas être juste pour la démonstration. Musicalement Slave One a aussi pas mal avancé en matière d'efficacité et d'identité. Maintenant progression n'est pas perfection, il reste encore du chemin à faire, pour le le son global prenne une véritable ampleur de puissance, on verra cela lors du premier album certainement...

La première démo, laissait déjà entrevoir les prémices d'un style sulfureux et inspiré par l'obscurantisme et une mythologie Indienne mise en avant par Seb qui est donc le parolier. Et c'est vrai..., c'est vrai que Slave One, au delà du death metal qu'il nous propose et pour lequel il en maîtrise parfaitement les arcanes, arrive à faire ressortir des mélodies malfaisantes, où l'on sent bien la mythologie qu'ils veulent porter à bout de bras. Lorsqu'on écoute "For Shiva Whispered The Universe", c'est tout cet univers qui vient à nous pour se matérialiser dans les oreilles et nous en projeter son image. Si vous êtes friands de riffs exotiques comme Melechesh sait nous le servir, ou (exemple tellement facile c'est vrai) comme Nile nous le balance, mais sans la densité, et encore comme Rudra, le groupe de thrash / death de Singapour (excellent groupe) alors oui vous aimerez obligatoirement Slave One.

Mais le fait de savoir comment orienter ses mélodies pour créer un univers noir, malsain n'est pas le seul atout du groupe. Il est aussi très carré et technique tout de même. Technique parce que les morceaux, au nombre de six, comme pour leur première prod, sont construits de manière évolutive, on retrouve souvent des harmonies très proches de Schuldiner comme soulevé plus haut, avec la technique et l'esprit qui va avec. Des harmonies emmenées par une batterie souvent sauvage, qui mène le tempo comme un métronome géant, notamment sur "Solanum Dance", titre le plus spécifique du CD, où l'on retrouve autant à la guitare qu'à la batterie des moments dignes en alternance de Cynic, et Death, quelque chose de sévère les enfants, parole !!!

On n'oubliera pas le chant, dont Nico P a la charge, un chant très guttural totalement adapté au style de death metal de Slave One qui offre aux morceaux la hargne vocale dont ils avaient besoin. Alors ce qu'il se passe, bizarrement, c'est que plus on avance dans les morceaux, et plus l'accroche est insistante, comme s'il existait une progression invisible dans la démo qui faisait qu'on montait d'un cran à chaque morceau.

Au final on a six morceaux d'un death metal encore frais dans sa composition et dans son énergie sonore, qui ne demande qu'à prendre un élan collégial. Je veux dire par là qu'il faut encore un peu de temps au groupe, dans la durée discographique pour avoir une unité parfaite, et qu'on ressente de manière plus flagrante l'unicité de Slave One. Mais pour l'instant on peut dire que leur style envoie bien, car la brutalité est également présente sur les morceaux. Brutalité qui était déjà présente sur leur première démo, mais qui ici, a été plus disséquée pour devenir plus intelligente, moins brute, mais plus violent. C'est exactement le cas pour "For Shiva..." ou "Uroboric". Le tout vous est servi sur un plateau en or, avec un artwork signé Trëz (Diluvian, Methnakriss....) dont vous en reconnaitrez forcément la signature graphique.

Que dire de plus, si ce n'est qu'il faut encourager ce genre d'initiative death métallique, le recul musical est là, la volonté est là, le talent est là, le son performant est en cours d'acquisition, la technique est là... Mais que manque-t-il ? Mais que manque-t-il ?!!... Le public peut-être, allez on l'a déjà dit, chacun sa fonction, ils créent, nous aimons, et comme le disait Voltaire dans Candide "Tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes"...


Arch Gros Barbare
Décembre 2011




"Vermin"
Note : 12/20

Slave One, après avoir entendu ce nom, je me suis directement posé la question : "Tiens ? Des fans de Star Wars peut-être ?". Je ne sais pas, et à la limite c'est pas grave car ce n'est pas cela qui nous intéresse pour le moment. Alors, Slave One ça fait quoi comme musique ? Du death metal, mon bon monsieur. Le groupe nous gratifie ici de 6 titres pour sa première demo. Quid de la pochette ? Pas mal sans plus, vous jugerez par vous-mêmes. Musicalement, le groupe joue un death plutôt old school je dirais, alternant des passages rapides à base de blast beats et de passages plus lents, plus pesants. La guitare nous sort soit de long riffs mélodiques ou des riffs plus classiques death assez efficaces et quelques solos bienvenus. La voix, quant à elle, est en général bien gutturale mais parfois part dans des déboires hurlés, ce qui donne un peu de relief à l'ensemble. Malheureusement, tout n'est pas rose dans l'univers de Slave One. Tout d'abord, la production, le son est très plat et manque de chaleur. Par moments ça va mieux mais globalement c'est assez mauvais sans être catastrophique je vous rassure, n'oublions pas que ce ne sont de toute manière que des démos ! Deuxième lacune, l'écriture. Certains passages sont très bons et accrochent très bien l'auditeur et à côté de cela, d'autres passages sont très (trop) classiques et "déjà entendu". Le problème est qu'au niveau structure les bons passages sont souvent mal placés et on passe trop vite de chouettes passages à des passages passables. Alors verdict pour une première demo ? Peut mieux faire mais pas trop mauvais.


Danivempire
Juillet 2009


Conclusion
Le site officiel : www.facebook.com/slaveonemetal