Deux semaines que je l’ai reçu cet album.
Deux semaines que je l’écoute le matin, le midi et le soir.
Deux semaines que je suis absorbé.
Deux semaines que cherche un truc à redire sur ce nouvel album de DeWolff. Je n’ai rien, absolument rien trouvé.
A l’heure où je vous écris nous sommes en 2019 et je connais déjà le meilleur disque de 2020
. "Tascam Tapes" est un album "parfait".
Et je ne suis pas le seul à la penser. Déjà en 2008 à un concours national, le jury n’avait eu, pour la première fois, aucune critique à formuler. Sur l’album il est écrit, dans un style de réclame très vintage "This is DeWolff’s new album it was recorded on the road for less than $50 / but it sounds like millions bucks". Malgré mes piètres compétences en anglais, j’ai bien compris l’idée et je vous assure que ce n’est pas une publicité mensongère.
"Tascam Tapes" c’est avant tout du rock. Un rock enivrant, addictif, indescriptible. Ces artistes sont les princes du groove, de la mélodie, du toucher de cordes, de la fragilité et de la rythmique.
La guitare est dingue, la voix envoûtante, la batterie d’une justesse incroyable et les arrangements au synthé jouissifs. Parfois bruitiste, le trio psychédélique, se trouve être le plus troublant dans ses moments de poésie. Absolument sublime.
Je suis absolument convaincu qu’il est impossible de ne pas être séduit par ces 30 minutes d’un rock, parmi ce qui se fait de mieux.
Ce nouveau DeWolff est une véritable dose de plaisir dans votre putain de journée.
Ils jouent le 17 Février à Paris et je pense qu’il va vite falloir se décider.
Après les Coffees, les putes, l’écologie et le fromage, voici une nouvelle raison d’aimer les Pays-Bas.
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